vendredi 30 septembre 2011

Conseils utiles pour féliciter votre enfant ?

Le compliment est un facteur clé dans le développement de l’estime de soi et de la confiance en soi de l’enfant.

Par féliciter votre enfant, j’entends lui faire des déclarations positives sur lui ou sur ses actes.
Féliciter un enfant, fait qu’il se sent aimé et protégé. Cela le motive aussi à avoir un comportement positif. De la même façon, le féliciter régulièrement permettra de renforcer et d’approfondir vos liens mère-enfant et père-enfant.

Féliciter son enfant peut sembler être un acte simple mais il y a certaines étapes et techniques qui permettent de maximiser l’effet positif que le compliment a sur l’enfant.

La première étape pour féliciter efficacement votre enfant est de lui montrer votre approbation. Ensuite, vous devez lui décrire l’aspect positif de ses actions et, enfin, lui expliquer pourquoi vous pensez que ce qu’il a fait était bien.
  1. L’approbation : Lors de la “démonstration” de votre approbation, utilisez des gestes et des mots pour communiquer votre fierté à votre enfant. Etre démonstrative renforcera vos propos positifs. Regardez le dans les yeux afin qu’il sache qu’il a toute votre attention.  Ainsi, votre enfant, en ressentant votre plaisir, est à son tour satisfait de lui-même.
  2.  La description : Lorsque vous décrivez pourquoi vous féliciter votre enfant, assurez vous qu’il comprenne parfaitement pourquoi il suscite votre plaisir. Votre discours doit être totalement positif. C’est vrai, parfois, en tant que parent, on peut être tenté d’insérer un sarcasme un peu négatif. Vous est-il jamais arrivé de dire à votre enfant quelque chose comme “Super, merci d’avoir rangé tes jouets Tomas, après te l’avoir demandé 10 fois …”         En fait, lorsque vous lui répéter la bonne action qu’il a réalisé, il sera plus susceptible de répéter à nouveau cette action, c’est pourquoi vous devez rester positive. De plus en laissant de côté le négatif, votre enfant entendra le réel compliment que vous lui faites. 
  3. La raison : Lorsque vous donnez à votre enfant la raison pour laquelle vous êtes satisfaite de ses actions, vous lui donner un lien direct vers les conséquences qui découlent de son comportement.  Par exemple, vous pouvez pointer que quand les devoirs sont fait quand vous arriver à la maison, cela laisse plus de temps pour jouer dehors. 
Un exemple de félicitation efficace peut ressembler à quelque chose de ce genre :

- Merci d’avoir remis de l’ordre dans ta chambre, voilà ce que j’appelle du rangement !
- Je vois des vêtements bien suspendus dans l’armoire, un bureau organisé avec tous les crayons dans la trousse, un lit bien fait avec la couette tirée vers le haut et l’oreiller au dessus et des jeux rangés dans les coffres à jouets.
- C’est vraiment agréable de pouvoir marcher dans ta chambre et de me sentir détendue. Ca me donne envie de passer du temps avec toi, ici, à jouer à la poupée.
  • Tenez compte de l’âge de votre enfant  
Prenez note, toutefois, de tenir compte de l’âge de votre enfant. En effet pour les enfant qui ont en dessous de 8 ans, les féliciter en publique peut les ragaillardir un peu car à ces âges, ils aiment être sous les projecteurs et ont besoin de notre réconfort et approbation.

Cependant, pour les enfants plus âgés, surtout ceux entrant dans la puberté ou ceux plus introvertis, ils souhaitent passer inaperçu. Les féliciter à huis clos sera donc plus efficace !



  • Félicitation injustifiée
Soyez tout de même vigilante à ne pas féliciter sans arrêt votre enfant. Cela ferai perdre tout son pouvoir à la félicitation.

Je ne veux pas dire, par là, que vous ne devriez pas féliciter votre enfant à chaque fois qu’il fait quelque chose de bien, cela signifie simplement qu’il ne faut pas le féliciter pour des choses qui ne sont pas vraiment de sa réalisation ou qui ne viennent pas complètement de lui.

Les enfants évoluent sur les compliments qu’on leur fait. C’est un des moyens qui leurs permettent de faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal.
  • Conseils :
- Souvent les enfants ont besoin d’attention, même une attention négative est mieux que pas d’attention du tout ! Les féliciter régulièrement peut éviter la nécessité pour l’enfant d’agir de façon inappropriée afin d’attirer l’attention de ses parents.

- Ayez une voix enthousiaste lorsque vous féliciter votre enfant. Nous savons tous que ce n’est pas ce que l’on dit qui compte le plus, mais COMMENT on le dit ! En étant enthousiaste lorsque vous le féliciter, cela lui prouvera que le compliment est très sérieux et sincère. 

- Ayez un geste rassurant : Lorsque vous féliciter votre enfant, le contact physique (comme poser votre main sur son bras, le porter, …)  ajoute une marque d’affection qui lui permettra de se sentir bien dans sa peau, et l’aidera à construire sa confiance en lui-même et son estime de soi.

- Féliciter le une deuxième fois : Parfois, lorsque votre enfant à accompli quelque chose de très grand, une double félicitation est bien mérité ! Pour cela il suffit de dire à son père ou à un autre adulte ce que votre enfant à fait. Ainsi le papa ou l’autre adulte le félicite à son tour.  Ce concept de “double dose” envoie un message très fort à votre enfant et renforce davantage le côté positif de ce que votre enfant à fait. 
Source : http://www.apprendre-a-etre-parent.com/comment-fliciter-efficacement-votre-enfant/

jeudi 29 septembre 2011

Conseils pour réussir son permis de conduire.




  • La motivation

Toutes proportions gardées, le permis, c'est un peu comme le bac. Il est fréquent d'attendre le tout dernier moment pour se mettre à bosser. Les moniteurs sont intarissables à ce sujet. Tous précisent que bien des élèves pourraient réduire leur volume d'heures de formation en se concentrant dès le départ. Et non au terme de 14/15 heures de cours. Bref, essayez si possible de ne pas tomber dans ce travers.

  • La régularité

Même si la chose peut sembler quelque peu scolaire, organisez vos rendez-vous de façon à suivre une leçon tous les deux jours. Les grouper dans la semaine se révèle peu productif. Selon les formateurs, ce n'est pas tant le volume de   cours global qui importe, mais la possibilité de réinvestir très vite ce qui est encore tout frais. Corollaire immédiat: vous progresserez plus rapidement lors de chaque sortie et limiterez en conséquenœ la facture finale. Tout bénéfice!

  • Les révisions sont importantes!

Une lapalissade, certes, mais nous vous transmettons les remarques acerbes de plusieurs formateurs.                               

Signification des panneaux, marquages au sol, règles de priorité et autres réjouissances ne coulent pas de source. Il ne  sert à rien d'empiler les heures de cours si vous ne travaillez pas les bases à la maison. Aussi, potassez votre bouquin de code (le plus récent possible car le code évolue rapidement)     .

                                                 

  • Ecoute et analyse
Concentrez vos efforts sur les tests afin d'apprendre à réagir en temps limité. Le code étant ce qu'il est, certaines réponses ne vous sembleront pas logiques. Il faut dans ce cas que l'on soit à même de vous expliquer pourquoi. Ecouter bien les explications des formateurs et n'hésitez pas à leur poser des questions.                                                               

  • Les idées reçues

Ils ne se donnent jamais en été! Cette légende a la vie dure. Or statistiquement, les mois de juillet et août affichent chaque année les meilleurs résultats en première présentation. Les candidats ne sont pas trop nombreux et les examinateurs un tantinet plus souples.

  • Le trac

Certains candidats perdent l'intégralité de leurs moyens en conditions d'examen. Même parfaitement préparés. C'est irrépressible, incontrôlable, pour tous dire maladif. Sachant que l'on ne se refait pas, il faut en la circonstanœ ravaler sa fierté et s'en ouvrir à un pharmacien, voire un médecin. Il existe des produits relaxants (homéopathique, préparation à base de plante...) très efficaces dont il serait stupide de se priver. Petit aparté, réduisez au maximum les excitants (thé, café, cigarettes...).
  • Ne désespérez pas!

Il se peut que vos dernières séries de code se soit soldées par 6 fautes (élimination !) Ou bien que l'ultime leçon de conduite ait vu le moniteur multiplier les interventions. Rien de tel pour semer le doute et saper votre capital confiance. Contrez le phénomène en reprenant un cours ou un test supplémentaire.                                                    
  • Mettez toutes les chances de votre côté

Arrivez reposé, au mieux de votre forme. En clair, pas de folies la veille. Offrez-vous un bon petit déjeuner anti coup de pompe. Avant de partir pour le centre d'examen, vérifiez une fois encore que vous n'avez oublié ni carte d'identité, (cas fréquent) ni livret d'apprentissage, (AAC) ni autre porte-bonheur. Enfin prévoyez une marge de sécurité pour vous présenter en temps et en heure. Le retard et l'examinateur produisent un mélange détonant.                                            
  • Soyez concentrer, ne cherchez pas les pièges à tout prix

Durant l'épreuve théorique générale (ETG) ne cherchez pas le piège à tout prix. Vous perdrez du temps et risquerez de rater des questions parfaitement évidentes. Dites-vous que les diapos ne différent en rien des versions utilisées en école de conduite. Elles ne sont ni plus, ni moins difficiles. Nombres d'élèves affirment d'ailleurs que le test officiel leur a souvent paru plus simple que les répétitions en école de conduite.
  • Soyez attentif et méthodique

Ne répondez qu'après avoir recensé tous les détails de la diapo : coup d'œil aux rétroviseurs, panneaux ou véhicules lointains, compteur... Méfiez-vous tout particulièrement des conditions météo. Elles influent directement sur les vitesses maximums autorisées ou sur le calcul des distances de freinage.                                                                  
  • Gérez le temps de réponse

Prenez toujours le temps de bien déchiffrer les diverses questions. L'astuce ne se trouvera pas forcément dans la photo   mais bel et bien dans le texte. Si une question vous donne du fil à retordre, chassez-la de votre esprit et concentrez-vous sur la nouvelle venue. Le temps passe vite et vous risquez de vous retrouvez en total décalage. Aussi, pas de pitié.Rappelons-le, vous disposez de cinq Jokers.                                                                                                                                
  • Vous avez le droit à l'erreur

Certaines fautes de conduite, calage au départ ou pendant l'épreuve, créneau imparfait, oublie d'un contrôle sont tolérées. Si elles ne se répètent pas.                                                                                                                                                 
  • Le profil du bon conducteur
Regarder dans les rétroviseurs, tournez légèrement la tête pour contrôler aux intersections ou angles morts lorsque vous  changez de voie. Levez le pied de l'accélérateur et placez le sur le frein à l'approche de tout danger potentiel. Rapprochez-vous rapidement des vitesses légales autorisées sans les dépasser. L'examen du permis de conduire n'est pas un bachotage, mais permet de conduire en toute sécurité, seul et dans n'importe quel endroit sur route, autoroutes... Conduisez naturellement comme vous avez appris à l'école de conduite, et imaginez l'examinateur comme un moniteur à côté de vous.                                                                                                                                                                                   
  • L'examinateur

Lors du permis, n'interprétez pas le silence de l'examinateur comme un mauvais signe. Attendez-vous à rencontrer des situations de conduites où vous devrez faire preuve de bonne décision. Et n'oubliez pas que l'examinateur a toujours raison. 
Source:http://www.auto-ecole.fr/reussir-son-permis-de-conduire.html

mardi 27 septembre 2011

Quelque conseils vous aider à arrêter de fumer définitivement !


Arrêter de fumer n'est pas chose facile. C'est pourtant la seule solution pour retrouver le souffle et le cœur de vos 20 ans. Voici quelques conseils qui vous permettront de dépasser vos envies de fumer sans stress ni nervosité.

- Soyez patient avec les manques. Le secret pour réussir à arrêter de fumer en douceur, c’est que lorsque vous avez envie d'une cigarette, attendez quelques minutes - un manque de nicotine dure habituellement de trois à cinq minutes. Faites quelque chose au lieu de fumer, comme mâcher de la gomme ou boire de l'eau.


- Essayez d'éviter les déclencheurs qui augmentent votre envie de fumer, comme l'alcool et le café. Changez vos habitudes. Préférez boire une tisane plutôt qu’un café, un jus d’oranges pressées plutôt qu’une bière… Au travail, évitez si possible de prendre votre pause parmi les fumeurs pour vous éviter toute tentation. Vos collègues et amis comprendront votre décision d’arrêter de fumer.


- Remplissez votre frigo de légumes frais : carotte, chou fleur, tomates... Quand l'envie de fumer vous prend, mordez dans une pomme ou grignotez une carotte ! Vous ne vous transformez pas en rongeur et en quelques jours vous vous sentirez beaucoup plus en forme avec le plein de verdure et de vitamine C.

- Pour lutter contre le stress et la nervosité écoutez une musique qui vous apaise, prenez un bain, faites du yoga ou des exercices de relaxation, pratiquez une activité sportive.

- Prenez du fer: Un apport en fer évite l'irritabilité, souvent liée à l'arrêt du tabac. L'oxygénation de l'organisme et les échanges cellulaires se font moins bien quand on en manque. Evitez toutefois les supplémentations et optez pour le foie et le jaune d'œuf, qui en contiennent beaucoup.

- La veille du jour J : Recherchez et éliminez tous vos accessoires de fumeur (cigarettes, briquets, cendriers…). Programmez votre journée du lendemain de manière à avoir le moins possible de temps morts. Evitez toutes les situations qui étaient jusqu'à présent associées à la cigarette : la pause café entre fumeurs, le café après le repas, les invitations à dîner chez des amis fumeurs.

- Un dernier conseil pour persévérer dans votre projet d’arrêter de fumer : Sortez : allez voir des expositions, mangez au restaurant et asseyez-vous dans la partie non-fumeurs, allez au cinéma... vous serez surpris de voir que l'envie de sortir pour fumer lorsque vous êtes dans un lieu public ne vous tenaille plus. 
FUME ET TUE

vendredi 23 septembre 2011

Huit conseils pour éviter le stress au travail

Le notion de stress n’est pas palpable. On l’associe souvent à une appréhension ponctuelle, passagère, lorsque l’on est confronté à quelque chose de nouveau, d’inconnu. Mais le stress peut se montrer bien plus pernicieux, pour preuve, nous sommes nombreux à penser ne pas l’être. Je vous propose d’identifier et de bannir quelques facteurs de stress assez classiques.

1 – Ne pas être en retard le matin ou à tout autre rendez vous. C’est inutile de courir ou d’écraser l’accélérateur, au mieux on arrive agacé et stressé. Il suffit de se lever 10mn plus tôt que d’habitude et d’avoir préparé ses affaires la veille au soir pour aborder la journée avec plus de sérénité.

2 – Ne pas faire trop de choses à la fois. Nous ne sommes pas des robots même si faire plusieurs choses à la fois peut sembler productif cela s’avère être un facteur de stress important. Inconsciemment nait une impression de ne jamais terminer les choses et de les rendre abstraites, sans saveur.

3 – Proscrire les boissons excitantes.
Café, thé ou boissons énergétiques à outrances … on en prend pour avoir la pêche, pour montrer aux autres qu’on est toujours d’attaque ! Mais est ce vraiment nécessaire ? On finit par être excité, moins concentré, jusqu’à vouloir en faire trop et se mettre en position de stress. Après le repas du midi on peut les bannir.

4 – Eviter les sujets ou les personnes négatives. Lorsque l’on se sent débordé, pas à la hauteur ou en retard dans ses engagements, il vaut mieux éviter avec ses collègues les sujets qui fâchent (conditions de travail qui se dégradent, hiérarchie sourde à nos attentes, primes fantômes, salaires qui stagne, projets avortés …) et privilégier des sujets plus positifs.

5 – Noter ses tâches et ses idées. Il n’y a rien de plus stressant et contre productif que d’essayer de se souvenir de tout à longueur de journée. On se met une pression inutile pour des tâches bien souvent des plus banales.

6 – Eclater les tâches complexes en tâches simples. Un sujet peut sembler difficile à aborder, voir impossible à réaliser. En prenant le temps de bien l’analyser et en le découpant en petites tâches simples, on parvient à mieux le borner, à le quantifier en terme de temps et de charge de travail.

7 – Définir des priorités. Il y a forcément des choses plus importantes que d’autres. Il faut les identifier … puis les planifier pour avoir une meilleure visibilité. Se laisser penser que tout est urgent et important est très stressant.

8 – Ne pas s’engager pour faire plaisir.
Toujours dire OUI , OUI , OUI. Et bien NON. Après avoir identifié, priorisé et planifié toutes ses tâches, on est plus à même de se prononcer. D’autant que ne pas tenir ses engagements est bien plus mal apprécié que de les avoir discutés au préalables.

Vous avez sans doute vos propres techniques pour éviter le stress lié au travail mais j’espère que ces quelques conseils vous permettrons de diminuer d’avantage la pression qui s’accumule dans votre cocotte minute interne.
Source: http://syskb.com